Balade de Campomoro à Campomoro. Notre chemin tortille entre les tamaris et les chênes verts. Le paysage est marqué de vieux enclos, de murs en pierre sèche et d'une belle aire de battage. Point cuminant du circuit, la Punta Mulina, 180 m d'altitude... quand même ! (Steph).
Cala d'Aguila, longue baie estuaire où tout le monde fait trempette. Retour en file indienne qui se disloque au gré des envies et intérêts de chacun. Marc, Marie et Madeleine fréquentent les dépôts de la mer dans l'espoir d'y trouver de beaux bois flottés. Denis lache ses chevaux de course en mode géocaching et moi je remplis mon "pot pourri" de senteurs mélangées. Les "tafonis" vont nous accompagner sur cette fin de parcours. Spectacle géologique garanti, avec un mélange de roches cristallines façonnées par l'érosion et qui prennent des allures de statues géantes. (Steph).
On choisit de jeter l'ancre dans la Cala di Conca qui nous offre un havre de paix, à l'abri du vent. Marc me débarque sur la plage et m'y abandonne comme on le faisait, jadis, avec les mutins... En fait, la paresse s'est emparée du reste de l'équipage et je pars seul en vadrouille à terre. Grande boucle qui me mènera à la tour de Senetosa. Une échelle en fer un peu branlante permet d'accéder au sommet. Depuis le haut de la tour, on pourrait apercevoir la Sardaigne... mais pas aujourd'hui ! (Denis)
Un peu avant d'arriver aux bergeries de Conca, les schtroumps ont bati leurs maisons... On s'y croirait !!
Nouveau mouillage dans le golfe de Roccapina dominé par son lion légendaire.
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