Mardi 4 novembre. 9h50 à 13h15. Bivouac 1 à bivouac 2. Réveil vers 7h… petit dèj… démontage et chargement des chameaux sous un petit soleil bien sympa. On quitte rapidement l’oued Draa pour remonter un affluent et rejoindre l’oued Biou Touss dans la journée. Un peu paumé sur la carte !
Passage d’un petit col qui n’est, en fait, qu’un passage pour raccourcir un méandre de l’oued. Le camp est dressé aux pieds de quelques palmiers parcourus par les chèvres d’une bergerie qu’on aperçoit au loin, sur l’autre rive de l’oued.
Mercredi 5 novembre. 10h10 à 14h. Bivouac 2 à bivouac 3. Départ après avoir réussi à récupérer les jouets du fils de Yannick « empruntés » par les gamins de la ferme. On refait les réserves d’eau dans un puits, au milieu de parcelles bien vertes. Mise en marche d’une pompe pour l’eau, grand luxe !
On continue à remonter l’oued Biou Touss, vers l’Ouest. Le campement sera établi sur une terrasse, au bord de l’oued, à l’emplacement d’un ancien souk. Il a fallu rechercher les chameaux avant la nuit…
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Jeudi 6 novembre. 10h10 à 15h. Bivouac 3 à bivouac 4. Superbe journée dans la remontée de l’oued qui s’encaisse et serpente au milieu de nulle part. Chemin vert, gris ou rouge qui trace sa route dans le désert de pierres.
Etablissement du camp dans un champ lunaire, juste au sortir de l’oued. Camp monté en plein vent, à proximité de la cuvette de Bleïda qu’on atteindra demain.
Vendredi 7 novembre. 9h30 à 14h30. Bivouac 4 à bivouac 5. C’est la plus longue étape depuis notre départ. On est passé au large de Bleïda. Rencontré un djebel qui ressemble étrangement au Mont Aiguille dans le Vercors.
On monte le camp dans le district minier de Bleïda, au milieu de nombreuses fouilles récentes et anciennes, de tranchées interminables et de limites de concessions tracées à la peinture blanche directement sur le sol.
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