Samedi 8 novembre. 9h50 à 15h. Bivouac 5 à bivouac 6. Belle journée à serpenter entre les collines ou à suivre un oued, trace royale qu’on quitte de temps en temps, lorsque des barres rocheuses en interdisent le passage aux chameaux.
Long serpentin ponctué de quelques endroits habités, lopins de terre bien travaillés, quelques maisons, cubes posés au milieu de rien.
15h, l’heure du bivouac approche et on choisit une terrasse qui surplombe le fond de l’oued.
En prenant de la hauteur, on découvre le filet argenté de l’oued qui file en amont vers mille collines et en aval une belle faille perce le djebel qu’on va descendre demain.
Dimanche 9 novembre. 9h 50 à 15h 30. Bivouac 6 à bivouac 7
Comme prévu, l’oued s’enfile dans des gorges de plus en plus encaissées. Le soleil tape.
On croise un premier village qu’on longe à l’ombre d’une palmeraie parcourue de rigoles d’irrigation, sous le regard des femmes et des enfants.
Un aigle plane au-dessus du djebel. Une allée de tamaris hors d’âge, aux troncs immenses, tortueux et noueux.
Au sortir des gorges, le paysage s’ouvre… les portes d’Assaka. On pose le camp au milieu de l’oued, à l’écart du village.
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Lundi 10 novembre. 9h 50 à 13h 30. Bivouac 7 à Bivouac 8
C’est au camp 8, à Oum el Oued, qu’on va retrouver Mohammed qui conduit le Toyata et qui nous emmène Steph, Christelle et Doudou qui vont remplacer Yannick et sa famille. Les uns partent, les autres arrivent. Marco et moi, on continue.
Tajine le soir et nuit collective dans la heima. (Prononcer Reïma)
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