Et la Meuse, bien sûr!

Elle grossit de jour en jour. Mon itinéraire monte quelquefois sur les hauteurs, s'écarte de son cours divaguant. Mais, toujours, j'y reviens, la suis quelques heures, la traverse sur des ponts centenaires et fais quelquefois une pose sur ses berges en regardant passer le courant.

Plus loin, j'emprunterai quelquefois d'anciens chemins de halage, la plupart abandonnés et envahis d'herbes folles. Les deux derniers jours, c'est par une voie verte, artère drainée par une foule de vélos et autres promeneurs, que je terminerai ma rando (à partir de Raucourt et Flaba jusque Charleville). C'est devenu trop "civilisé" à mon goût... Je préfère de loin me perdre sur les chemins noirs, loin des hordes en fluo des chemins balisés.

 

L'anné prochaine, je récideverai cette errance loin des chemins battus.

Peut-être le long de la Marne...

 

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